Ahahah, y en a qui n'ont pas peur de donner leur avis sur le dernier opus ! La méthode ? Le flash back... On attendra donc 2013 pour avoir leur critique de B&WA :top:

[large]Etats-Unis/Musique : Lenny Kravitz sort « Let Love Rule : 20th Anniversary Edition » ![/large]

Flash-back sur un ancien live de Lenny Kravitz. Le chanteur n'a en tout cas rien perdu de sa fougue en live.


[small]© Lenny Kravitz[/small]

Lenny Kravitz vient de sortir son nouvel album, « Black and White America », qui se veut un mélange de ses plus grandes influences musicales à savoir la soul, le funk et le rock. Le chanteur américain et sa fidèle guitare partiront prochainement en tournée en France. Afin d'avoir un avant-goût de ce qui attend les spectateurs français, faisons un retour en arrière dans la discographie de l'artiste avec « Let Love Rule : 20th Anniversary Edition », paru en 2009. Le double album n'est autre qu'une réédition du premier disque du même nom de Lenny Kravitz, paru en 1989. Outre la réédition des titres du chanteur, ce dernier propose également un cd contenant des versions live de ses morceaux enregistrées à Boston ou encore à Amsterdam

Alors que Lenny Kravitz a la faculté de nous donner des frissons en écoutant ses enregistrements studio, ses prestations en live ne sont pas en reste. En effet, la voix du chanteur prend sur scène toute son ampleur avec une puissance se mêlant sans fausse note aux riffs de sa guitare. « Mr.Cab Driver », « Freedom Train », « Fear », ou encore « My Flash On You » démontrent que le chanteur ne s'économise pas et lâche toutes ses tripes sur scène. Avec un style très proche de Jimi Hendrix, Lenny Kravitz en profite pour rendre hommage au défunt artiste en reprenant l'un de ses titres, « If 6 Was 9 ».

Si Lenny Kravitz est connu pour ses tubes rock et ses riffs de guitare endiablés, il a également fondé son succès sur ses ballades soul au piano et à la guitare acoustique telles que « My Precious Love », « Rosemary » et le puissant « Be ». Avec de telles prestations, on regrette que Lenny Kravitz ne compte aucun autre album live dans sa discographie, et ce malgré de très nombreuses tournées à travers le monde.
Publié le 29-08-2011

www.gaboneco.com/show_article.php?IDActu=23532

lol
mieux vaut tard que jamais!!!

Interview (pour une fois très bonne) de Lenny dans Rock & Folk. Le journaliste a bien identifié les influences derrière les chansons et sait de quoi il parle. Interview dans Guitar Part également. Pas encore eu le temps de retranscrire les articles.

Dans un autre registre, les photos de Lenny aux Bahamas avec quelques unes de ses grattes vintage représentent un must. A voir et à commander sur le site du magazine Guitar Aficionado (numéro d'août 2010). L'article est plutôt complaisant mais donne des renseignement sur le matériel utilisé en studio par Lenny.

Pour rappel, la Une de R&F


Easy Rider a partagé sur sa page FB

Un point sur les ventes de l'album et hop une critique de +. Le tout sur le site du quotidien Le Parisien et par Emmanuel Marolle

[small]30 août 2011[/small]
[large]Ventes: Adele résiste à Lenny Kravitz[/large]



Adele est imbattable. Non contente d'avoir passé l'été en tête des ventes, la star de l'année réussit à dompter les premières grosses sorties de la nouvelle saison. On pouvait croire que Lenny Kravitz allait parvenir sur la plus haute marche du podium. Son album "Black and White America" est une belle réussite, comme je l'ai écrit ici. Certes, il effectue la meilleure entrée de la semaine, mais seulement en 7ème position des ventes physiques, avec 6 154 exemplaires écoulés. Adele, toujours numéro un a écoulé plus du double soit 13 652 disques. Kravitz peut se consoler avec la première place du top digital et 2774 albums téléchargés...juste devant Adele qui a convaincu encore 2144 internautes.

Derrière Adele, on retrouve, en cd, les gros vendeurs du moment: Nolwenn Leroy (2ème avec 10 160 "Bretonne"), Les Marins d'Iroise (3ème, 9268), Les Prêtres (4ème, 8993), Rihanna (5ème, 7766).

Le top 10 se referme sur les deux poids lourds du rap qui doivent se contenter de la 2ème meilleure entrée de la semaine en cd. Leur "Watch The Throne" n'a convaincu que 2824 acheteurs.

La vraie déception est à chercher du côté du belge Milow. Son nouveau disque "North and South", bien accueilli médiatiquement, n'a déplacé que 1434 fans en magasin (29ème) et 374 sur le net (14ème), loin du carton de sa reprise d' "Ayo Technology", qu'il nous avait interprétée en acoustique, il y a deux ans.

- - -
[small]19 août 2011[/small]
[large]Lenny Kravitz retrouve l'inspiration[/large]

Lenny Kravitz recycle. Cela fait toujours bien de le balancer dans les dîners en ville. Il est en effet de bon ton de résumer le musicien a une sorte de pilleur sans vergogne de 40 ans de rock. Une fois que l'on a dit cela, on n'a pas dit grand chose sur le garçon, impressionnante machine de scène et excellent compositeur, comme il le prouve sur son nouvel album "Black and White America", qui sort lundi. Un retour aux fondamentaux, enfin, alors que l'on peut reprocher, à juste titre, à Lenny Kravitz de jouer parfois, avant tout, les poseurs, de multiplier les plans passe-partout de musicien cultivé, au détriment de l'essentiel: les chansons.



Il y en a et de belles, d'inspirées dans cet album, à commencer par la première: "Black and White America". Plus qu'un retour aux sources, elle pose les bases de ce qu'est Lenny Kravitz, métisse américain, né d'un père blanc et d'une mère noire, dont il parle dans ce morceau, nourri aux années 60 et 70, à la soul US. "A la manière de", diront encore les empêcheurs de tourner en rond.

Peu importe. Des chansons pareilles ne se bousculent pas à la porte de la rentrée. Tout comme "Dream" superbe ballade, portée par un piano qui boucle quasiment le disque, au bout d'une heure.

Entre les deux, il y a à boire et à manger dans ce nouveau Lenny Kravitz mais surtout beaucoup de bonnes choses: "Liquid Jesus", funk moite et dépouillé, "Rock Star City Life", gros tube en vue après l'impeccable premier single "Stand", qui devra aussi rivaliser avec "I Can't Be Without You"

Certes, Lenny Kravitz s'emmêle parfois les pinceaux dans sa discothèque idéale. Il rate son quart d'heure années 80 avec le balourd "In The Black" et son voyage au milieu des synthés 70's à cause du bavard "Looking Back On Love".

Le guitariste ne peut pas s'empêcher de jouer encore les Hendrix mais s'en sort bien sur "Come On Get It", cite ouvertement James Brown à la fin de "Life Ain't Been Better Than It Is". Deux chansons ultra référencées mais épatantes, dans un album de 16 titres souvent bouillonnants.

Mais là où Kravitz fait taire les sceptiques c'est sur le formidable "Bonngie Drop" brillant exercice electro-rock-rap, avec la complicité de Jay Z, venu donner de la voix ou un peu plus loin sur l'exotique "Sunflower" au côté de Drake

Preuve que Lenny Kravitz a encore de la ressource et est même capable d'oublier parfois, un peu, ses glorieux aînés

Un article sur Rtl.be où on n'apprend... rien...

[large]Lenny Kravitz : « Mon nouvel album est très heureux »[/large]
Lenny Kravitz déclare que son nouvel album est « complètement heureux ».

[small]30 Août 2011 19h40[/small]



Le chanteur fait en ce moment la promotion de Black and White America, son dernier opus. En dépit de son célibat, il dit ne jamais avoir été aussi heureux. Cette joie, il l'a transportée dans cet album, enregistré aux Bahamas.
« Tous mes albums sont positifs, mais il y a en général au moins une chanson avec une tristesse ou une profonde noirceur. Mais celui-ci est complètement heureux. Ma vie n'a jamais été aussi bien, a-t-il confié à USA Today. J'ai construit un studio dans les Bahamas et passé une année et demi dans l'isolement, dans cette atmosphère très naturelle et calme. »
Lenny a aussi révélé que la chanson titre de l'album avait été inspirée par le président des Etats-Unis Barack Obama. Il a été touché par son célèbre discours en mars 2008 et était heureux de ne pas avoir peur de s'attaquer au problème du racisme.
Il s'est senti forcé d'écrire une chanson pour répondre aux opinions négatives de certains sur Obama.
« C'était une validation géniale, d'entendre quelqu'un ayant un point de vue des deux côtés. Parce que je savais de quoi il parlait. La race dans ce pays est toujours l'éléphant dans la chambre que personne ne veut aborder, a-t-il expliqué. Une nuit je zappais sur les chaînes aux Bahamas et je suis tombé sur ce documentaire. Il y a avait toutes ces personnes parlant du président Obama, comment ils désapprouvaient son élection et voulaient reprendre leur ancien pays, de n'importe quelle façon possible. Je sais qu'il y a du racisme, mais d'entendre des gens s'exprimer d'une manière aussi haineuse, je devais écrire une contestation. »

Hop des résultats des ventes... FNAC


[large]Lenny Kravitz fait une incursion dans le classement Fnac[/large]
31/08/2011 10:27 (Par Etienne Jean de la PERLE) - Relaxnews

Le nouveau classement Fnac est disponible, et à notre grand étonnement, la troisième place du Top 10 est occupée par un nouveau venu. Il s’agit de Lenny Kravitz, l’interprète de « Butterfly ». Le chanteur est entré directement en troisième position grâce à l’album « Black and White America ». Ce disque, qui est le neuvième de l’artiste, est sorti le 22 août dernier. Il semblerait que la compilation soit déjà très appréciée du public.

Pour ceux qui ne seraient pas au courant, sachez que le nouvel album de Lenny Kravitz, « Black and White America », est disponible depuis peu. Le disque semble en avoir séduit plus d’un, puisque l’interprète de « Stand » occupe actuellement la troisième position dans le classement des meilleures ventes d’albums de Fnac. Rappelons que l’artiste ne faisait pas partie du Top 10 la semaine dernière.

http://www.referencement-internet-web.com/image.php?Id=17885

Tout va pour le mieux pour Lenny Kravitz. Nous aurions pu craindre qu’après deux ans d’absence, l’artiste ait perdu de son influence, mais tel n’est pas le cas. À vrai dire, il semblerait que la star ait actuellement le vent en poupe. Sa nouvelle compilation, sortie le 22 août dernier, a suscité la curiosité de bon nombre de personnes. Résultats des courses, Lenny Kravitz figure au Top 3 de Fnac.

Outre le fait de sortir des disques à succès, l’interprète de « Butterfly » a aussi le chic pour offrir à ses fans des shows d’exception. Le public aura ainsi la chance de voir Lenny Kravitz sur scène lors de plusieurs concerts, dont quelques-uns qui se tiendront en France en novembre. Toutes les dates de ses prochaines prestations sont disponibles sur son site officiel.

Comme nous le savons tous, Lenny Kravitz est non seulement un chanteur de renom, mais aussi un très bon acteur. Les cinéphiles auront l’occasion de contempler l’étendue de son talent dans le film « The Hunger Games ». Il incarnera un personnage nommé Cinna. L’adaptation devrait débarquer dans les salles de cinéma le 23 mars 2012.

www.referencement-internet-web.com/27885...classement-fnac.html

Vu sur le site Direct Star :



Le 30 août 2011 à 11h59

[large]Lenny Kravitz : retour au sources[/large]
Trois ans après le succès «It’s Time for a Love Revolution», Lenny Kravitz revient avec un neuvième album en forme d’hommage à la musique noire américaine de la fin du XXe siècle.

Si le funk de Black and White America, première des seize compositions, fait démarrer fort l’album, le titre n’en reste pas moins un appel à la tolérance, comme un écho aux origines métisses du chanteur et aux railleries dont il aurait été victime enfant. Suivent des sonorités plus rock avec Come and Get It puis Push, aux cuivres très 70’s, ou encore Rock Star City Life, ancré dans les années 1980. Inévitable chez le séducteur Kravitz, l’hommage aux femmes avec Boongie Drop, un rap électro réalisé en collaboration avec Jay-Z, vient enrichir un CD des plus réussis. •

Black and White America, Lenny Kravitz (Road Runner). En tournée en France dès le 15 octobre. Le 28 novembre à Lyon, le 29 à Paris-Bercy.

Merci Chrystelle, que des bonnes choses :top:

J'avoue j'ai bien ri... Vous comprendrez vite pourquoi...

[large]La chronique d'Emma d-U : Jay-Z, Kanye-W et Lenny-K font leur rentrée[/large]
[small]Pure People - MERCREDI 31 AOÛT 2011 À 18:02[/small]

Mes chers amis,

Que je suis heureuse d'avoir retrouvé les Parisiens de mauvais poil, les embouteillages et dès demain plus de place pour se garer et le stationnement payant ! Que je préférais le début du mois d'août même avec un temps pourri... C'est fou comme certaines choses ne vous manquent pas ! En revanche, une chose me fait plaisir, c'est de retrouver un Top dans lequel il y a enfin des entrées. Bah oui, qui dit rentrée dit nouveauté !

Parce que moi je n'en peux plus de vous raconter chaque semaine la même chose : et devinez qui est n°1 ? Adele... Ouais bravo ! Et qui est n°2 ? Nolwenn... Wouahou, quelle surprise ! Ne me dites pas que Les Marins d'Iroise sont n°3 ? Oh que si ! Et ce ne seraient pas Les Prêtres en n°4 ? Tiens, comment avez-vous pu découvrir un scoop pareil ? Et Rihanna, n°6 ? On ne peut décidément rien vous cacher... Et pour finir Les Black Eyed Peas sont vraiment n°7 ? "J'ai qu'ça qu'à dire" comme dirait Ribéry !

Quel kiff ce début de classement, hein ? Je ne vous avais pas menti. On prend les mêmes, on les mélange un peu et hop, on les ressort vite en mode on recommence. En conclusion, vous écoutez tous la même musique et je trouve ça super triste.

A la 7e position, on retrouve l'album d'un artiste que tout le monde ne peut qu'adorer car même si The Beginning ne semble pas être aussi fort que Let Love Rule, Mama Said, Are you gonna go my way ou encore Circus, la sortie d'un nouvel album de Lenny Kravitz est toujours un événement. Le mec est une vraie pointure (d'ailleurs, je sais qu'il adore les boots en python...) et quoi qu'il arrive ça fonctionne !

Zaz fait une très belle chute de la 3e à la 8e position dans le classement des meilleures ventes physiques d'albums. Aïe, aïe, aïe... Zazafaitmal !

Shakira remonte de la 11e à la 9e place et laisse la dernière marche du très fameux podium à dix marches à un tandem de choc : Jay-Z et Kanye West. Watch the Throne ne déchaîne pas les foules et selon Valoche, "il faut plusieurs écoutes pour l'apprécier, le dompter". Selon Nico, "c'est essentiel mais tu peux vivre sans". Hum hum, tout est dit. Moi, je ne l'ai pas écouté donc je m'abstiendrai de tout commentaire inutile. Eh oui, cela m'arrive !

Anyway, on félicite le futur papa qui avait l'air tellement content quand sa Beyoncé a dévoilé son petit bidon... Une très bonne occasion pour vous annoncer que je suis dans le même état qu'elle (je danse à peu près aussi bien qu'elle aussi) et que l'on devrait pondre nos bébés en même temps d'ailleurs ! Je ne savais pas comment vous le dire... C'est fait !

Voilà mes chers amis, je vous souhaite une belle rentrée à tous, petits et grands et vous donne rendez-vous la semaine prochaine, même jour, même endroit mais peut-être pas même heure.

Mouah !

[small]Emma d'Uzzo[/small]

www.purepeople.com/article/la-chronique-...eur-rentree_a86483/1

Vu sur Chartinfrance

MERCREDI 31 AOÛT 2011 18:00 353

[large]Tops : Adele déloge la compilation NRJ avec "21"[/large]

Finalement, Adele est parvenue à déloger la compilation "NRJ Extravadance 2011" avec son album "21", n°1 du Top Albums Fusionnés pour la deuxième semaine non-consécutive. Nolwenn Leroy refait surface avec "Bretonne" et Lenny Kravitz fait une timide percée avec "Black And White America". Du côté des titres, Rihanna est toujours leader avec "Man Down" mais Mika se pose en prétendant pour récupérer son siège.



Top Albums Fusionnés : Adele assomme les compilations avec "21"

Adele détrône la compile "NRJ Extravadance 2011" et place son album "21" sur la première marche du podium pour la deuxième semaine non-consécutive avec 15 796 exemplaires écoulés, ce qui lui permet de dépasser les 300 000 ventes en France (très exactement 300 821) depuis le début de l'année. Un succès que l'on doit au hit-single "Rolling In The Deep", désormais relayé par "Set Fire To The Rain" et "Someone Like You" sur les ondes françaises. La chanteuse britannique à la voix d'or réalise un score bien supérieur à celui de la compilation "NRJ Extravadance 2011" qui descend d'une place pour stationner 2ème en comptant 11 502 achats. "Bretonne" de Nolwenn Leroy reprend du poil de la bête et se hisse 3ème : c'est un bond de sept places et 10 497 ventes.



La meilleure entrée de la semaine est celle de la compilation "NRJ Hits 2011 volume 2" qui se classe 4ème avec 9 544 ventes, ce qui n'empêche pas Les Marins d'Iroise de rester 5ème avec leur album éponyme, défendu la reprise "Santiano". Les Bretons ont encore séduit 9 388 auditeurs, soit trois cents de plus que Les Prêtes qui effectuent une belle remontée avec leur deuxième album "Gloria", 6ème (+6). C'est 9 090 galettes supplémentaires qui ont trouvé preneur, ce qui ne permettra pas aux clercs d'égaler le score du précédent opus "Spiritus Dei", du moins pour l'instant (200 000 ventes). Juste derrière eux, Lenny Kravitz impose "Black And White America" dans ce top ten en totalisant 8 928 ventes. Un score honorable compte-tenu de son exposition médiatique : le single "Stand" est relativement peu diffusé en radio et le clip passe rarement à la télévision.



Un engouement qui ne fait pas peur à Rihanna : la chanteuse réintègre le haut du classement avec "Loud", sorti en novembre 2010, et mis en avant par une pléiade de singles devenus populaires. Le succès que rencontre "Man Down" sur les plateformes de téléchargement et à la radio n'est pas étranger à cette remontée de l'album : "Loud" est 8ème avec 8 356 ventes (+3). Juste derrière la sensuelle jeune-femme, le quatuor américain du moment impose son "Best Of The Beginning + The END". Deux albums à succès en un seul : voilà la recette pour s'assurer de bonnes ventes. The Black Eyed Peas sont 9ème avec 7 078 ventes supplémentaires. Enfin, Zaz referme ce top ten avec son disque éponyme qui perd six places mais reste stable en terme de ventes (6 238).



Les entrées de la semaine

Kanye West et Jay-Z ne font pas mieux que 16ème avec leur album "Watch The Throne", n°1 aux États-Unis. Avec 3 467 convaincus, ils peuvent s'estimer heureux car Milow ne rencontre pas la même adhésion du public français. Son "North & South" débarque 35ème en totalisant 1 808 ventes. Entre les deux s'intercalent Game avec "The R.E.D Album", 30ème (2 459), et la compilation "Contact Play & Dance 2011", 33ème (2 040). Slai est 43ème avec "Escale" (1 602), Alex Beaupain 61ème avec la BO du film "Les biens aimés" (1 014), et Barbra Streisand fini en bas du tableau avec "What Matters Most - Barbra Streisand Sings The Lyrics Of Alan And Marilyn Bergman", 156ème (394).




Top Titres : l'écart se resserre entre Rihanna et LMFAO

Rihanna est toujours n°1 du Top Titres avec son single "Man Down". Mais l'écart qu'elle avait creusé avec LMFAO et leur single "Party Rock Anthem" se resserre. Elle a convaincu 8 746 auditeurs contre 8 592 pour les californiens, 2ème. Mika se contente encore une fois de la médaille de bronze : "Elle me dit" reste 3ème avec 8 188 ventes. Autant dire que les leaders se tiennent dans un mouchoir de poche. Les prochaines semaines promettent un beau duel entre eux trois, à moins que Sean Paul vienne jouer les trouble-fêtes avec "Got 2 Luv U" qui bénéficie de larges audiences en radio. Il monte de deux étages pour finir sa course 4ème avec 5 943 ventes.



5ème : Inna Modja avec "French Cancan". C'est une place de moins et 5 794 achats. Idem pour Pitbull et Ne Yo qui sont 6ème avec "Give Me Everything" (4 840). DJ Antoine et son featuring "Welcome To St Tropez" enregistré avec Timati et Kelenna prend deux places pour se classer 7ème (4 698), tout comme Britney Spears en reprend une avec "I Wanna Go", 8ème (4 515). Elisa Tovati et Tom Dice tiennent bon la barre avec leur duo "Il nous faut", 9ème grâce à 4 392 achats. Enfin, le featuring "Little Bad Girl" de David Guetta et Taio Cruz se classe 10ème (4 180).

[small]Jonathan HAMARD[/small]

www.chartsinfrance.net/actualite/news-75407.html

J'avoue j'ai un peu coupé au montage...

[small]Le Point.fr - Publié le 02/09/2011 à 15:46 - Modifié le 02/09/2011 à 15:45[/small]

[large]Lenny Kravitz, Jeff Bridges et les Red Hot en guest stars de la playlist de la semaine[/large]

Des retours attendus, un acteur-chanteur, un duo français au top et un Anglais qui se révèle. C'est la rentrée dans la playlist de la semaine.



CLÉMENTINE GOLDSZAL

Black and White America de Lenny Kravitz (Roadrunner/ Atlantic/Warner).

Mais qui es-tu, Lenny Kravitz ? Un authentique mélomane et un musicien de génie un temps égaré sur les chemins tortueux du rock fm ? Un opportuniste qui se rêve en Jimi Hendrix ? Un ex-cool des nineties ? Let Love Rule, son premier album (le meilleur), est sorti il y a déjà vingt-deux ans, et Lenny a fait du chemin depuis, prenant des détours parfois vaseux vers le mainstream. Mais ce neuvième album semble annoncer que le temps est venu pour lui de réconcilier les diverses facettes de son personnage : un vrai soul man doublé d'un excellent musicien qui, comme à son habitude, assure la plupart des parties de guitare, basse et batterie en plus de produire lui-même ses chansons, le tout emballé dans un gros ego qui ne rechigne pas à balancer quelques refrains faciles ("In The Black", "Rock Star City Life", "Stand"). Une chose est claire cependant, Kravitz a encore du groove à revendre et s'impose comme une référence (la voix haut perchée de Liquid Jesus évoque nettement le chant sensuel de Pharrell Williams, Boongie Drop, en duo avec Jay Z, exécute les bases du R'n'B avec un succès certain, Everything sonne définitivement à l'ancienne et c'est bon). Bref, il est peut-être temps d'accepter Lenny comme il est : certes pas aussi puriste qu'à ses débuts, mais un artiste à l'abri de la compromission totale. C'est déjà pas mal.

[...]

Un très joli article venant du pays de Angel :

2. Septembre 2011, 00:00 Music CD / Vinyl
[large]Lenny Kravitz - « Black and White America »[/large]

Sophia Bischoff - Lenny Kravitz is back ! Les mecs, planquez-vous, le beau gosse du rock est de retour avec son neuvième album « Black and White America ». Vous attendiez un opus dans la lignée des derniers ? Un opus purement rock ? Que nenni ! « Black and White America », c’est tout autre chose.



Lenny Kravitz est, rien que par ses origines (son père est russe et sa mère est une afro-américaine originaire des Bahamas), un melting-pot culturel à lui seul. Il n’est donc pas étonnant que son rock soit si éclectique. On lui connaissait des influences soul, funk, électro et R&B. Cet été, Lenny Kravitz nous sert l’album parfait pour la plage et pour les orages estivaux. « Black and White America », c’est l’opus aux couleurs de l’Amérique. L’Amérique de la Motown, l’Amérique militante pour les droits civiques. L’Amérique d’hier certes mais non dépourvue de touches modernes. « Black and White America », c’est l’album funk longuement attendu de Lenny.

Le voyage dans les 60/70’s de Lenny Kravitz commence avec le titre éponyme de l’album. Un morceau funk aux accents soul très marqués. Mr Kravitz a beau se renouveler avec ce neuvième album, il n’en n’oublie pas moins ses premières danses. La preuve avec le deuxième morceau de l’album, « Come On Get It », un titre résolument plus rock où on retrouve le Lenny d’autrefois. Ces deux premières chansons reflètent bien l’ambiance générale de l’album. Pour le reste, l’équilibre entre les morceaux plus funk et les morceaux plus rock est parfait. Avec cet opus, Lenny a également poussé l’exercice du melting-pot à un mélange de rock, électro et touches hip-hop. « Boongie Drop » vous donne le sentiment d’être dans un club malfamé et au style très sombre. Ici, Jay-Z et Dj Military accompagne le sombre voyage de Lenny. Un autre titre accueille un invité issu de la musique noire américaine, « Sunflower ». Avec l’aide de Drake, Kravitz ajoute quelques effluves du carnaval de Rio de Janeiro à un funk très futuriste. Les fans incontestés affirmeront que ces deux collaborations sont les bienvenues. Les langues les plus critiques vous diront, quant à elles, que la présence de Jay-Z, Dj Military et Drake sont, sur les morceaux respectifs, inutiles.


Du côté des coups de cœur, on retiendra l’entrainant « Superlove », « Looking Back On Love » sa tension croissante et ses arrangements soul efficace et, finalement, la mélodie pleine d’espoir de « Push ». En somme, « Black and White America » est aux couleurs de Lenny Kravitz, un melting-pot des cultures américaines. Avec ce neuvième album, le new-yorkais marque un beau retour et fête dignement ses 23 ans de carrière.

A écouter et à voir absolument lors de ses deux prochaines dates en Suisse, le 24 novembre à l’Arena de Genève et le 26 novembre au Hallenstadium de Zurich. A l’annonce de cette bonne nouvelle, on vous laisse avec un medley de « Black and White America »

www.students.ch/fr/magazine/details/5525...k-and-White-America-

Hop j'avais zappé la review de ChartsinFrance :

[small]LUNDI 22 AOÛT 2011 10:12[/small]

[large]Lenny Kravitz : "Black And White America", un album interracial

Lenny Kravitz publie ce jour son nouvel album, le neuvième en un peu plus de vingt ans de carrière. Entre blues, funk et rock, le chanteur rappelle les décennies 60/70, une époque où la controverse et le militantisme des afro-américains bouleversaient le Nouveau Continent. Épique, ce disque retrace une page de l'histoire mais se veut moderne et ancré dans son époque. C'est ça la "Rock Attitude" ![/large]


[small]Crédits photo : Site internet officiel de Lenny Kravitz[/small]

Trois ans après "It Is Time For A Love Revolution", il est encore temps pour Lenny Kravitz de repenser le monde. Une révolution ? Non, le chanteur de 47 ans s'est mis à l'heure des contestations et des consternations en voyageant dans les années 60/70 pour revenir avec une neuvième galette : une œuvre composite et toujours composée avec classe, toujours empreinte d'amour, des femmes mais nouvellement de l'autre, celui dont la différence de couleur de peau lui vaut d'être pointé du doigt. "Black And White America", ou "L'Amérique noire et blanche", c'est le débriefing des idées reçues de l'Amérique d'hier et d'aujourd'hui, voulue interraciale mais encore marquée par le communautarisme et le refus de l'acceptation de l'étranger malgré l'élection d'un président noir, Barack Obama, en 2009.

[large]« Le racisme existe toujours. »[/large]
Une page de l'histoire des États-Unis dont on se souvient encore avec notamment les manifestations d'afro-américains militant pour l'égalité des droits. C'est ce passé assimilé à Martin Luther King que Lenny Kravitz a souhaité remémorer à l'oreille de l'Amérique et au monde dans "Black And White America", un titre éponyme inspiré d'un reportage évoquant sans détour le racisme latent de son pays : « Les personnes interrogées racontaient leur dégoût de ce que l'Amérique était aujourd'hui et leur dégoût d'avoir un président noir. Ils voulaient que l'Amérique retourne cent ans en arrière », explique Lenny Kravitz, lui-même fils d'une mère noire et d'un père blanc. « Mes parents formaient un couple interracial et, dès le début de leur histoire, ils ont compris qu'ils seraient toujours au milieu. Et je me rends compte que, presque un demi-siècle après, le racisme existe toujours. Ça me choque profondément. Je ne pense pas que ce soit forcément mon rôle en tant qu'artiste d'en parler. Mais, comme j'ai cela sur le cœur en ce moment, je ne pouvais l'éviter. ».

Comme un témoignage de l'histoire, la photo de cet album représente Lenny enfant, alors qu'il venait d'atteindre l'âge de raison : « Je regardais de vieilles photos et je suis tombé dessus » explique le chanteur en présentant sa cover. « Elle est devenue tout de suite une évidence, mais rien n'était prémédité. En revanche, il est vrai que l'enfance est le temps de l'innocence. Comment peut-on encore être raciste ? Ce petit garçon n'a pas encore été confronté au racisme, il est heureux et profite pleinement de la vie. Oui, je n'ai que de bons souvenirs de cette période, j'ai été et dès lors je n'ai aucun doute sur ce que je veux faire. » ("Les Echos").

[...]

"Black And White America", ce sont seize titres teintés de funk, de blues et surtout de rock. Lenny se renouvelle et c'est tant mieux. On reconnaît son style imparable, son timbre de voix singulier, mais on se complait de ses arrangements rétro. Enregistré entre Paris et Les Bahamas, deux ports d'attache du chanteur new-yorkais, il est, « musicalement et lyriquement, le plus hétéroclite de ma carrière » déclarait l'artiste il y a quelques mois déjà à la presse américaine. Surprise : "Black And White America" voit Lenny s'essayer au rap et au dancehall. Et pour se faire, il s'est entouré de deux connaisseurs : Jay-Z sur "Boongie Drop" et Drake sur "Sunflower". Une réussite ? Peut-être pas...

[...]

De cet opus, on retiendra "Black And White America", "Come On Get It", "Rock Star City Life" et "Can't Be Without You", les titres les plus rock. La ballade "Dream" est un bon antidépresseur, là où "In The Black" plombe l'ensemble. Gageons que tous ces morceaux prendront leur envol sur scène : Lenny Kravitz sera cet automne en France pour une série de concerts dans le cadre du "Black And White Europe Tour" dont Pure Charts est partenaire. Le sexy rockeur fera une halte le 15 octobre au Zénith d'Amiens, avant de s'arrêter au Zénith de Strasbourg le 18. Il poursuivra son tour de France dans le sud avec un concert à l'Arena de Montpellier le 20 octobre, et un autre au Zénith de Toulouse le 21. Son périple le mènera au Zénith de Nantes le 23 octobre, au Zénith de Lille le 24, au Zénith de Rouen le 29, et le 28 novembre à la Halle Tony Garnier de Lyon. Enfin, Lenny Kravitz terminera en apothéose au Palais Omnisports de Paris-Bercy le 29 novembre prochain.
[small]Jonathan HAMARD[/small]

Vu sur Soul Kitchen :
[large]Lenny Kravitz – Black And White America[/large]
[small]Par Queen Mafalda - le 5.09.2011 dans Chroniques[/small]



Trois ans après "It's Time For A Love Revolution" Lenny Kravitz revient avec Black And White America le neuvième album d'une carrière qui dure depuis plus de 20 ans. Si Black And White America n'est pas à proprement parler un album concept, il est indéniable que le thème de l'égalité raciale le traverse de part en part. Un thème cher à Kravitz depuis probablement toujours et qu'on pouvait déjà entendre sur Mr Cab Driver, morceau de son premier album Let Love Rule.

Lenny Kravitz qui n'a plus rien à prouver et qui a fini de payer les traites de ses maisons aurait pu nous faire un album bien putassier, pop-rock-easy listening. Alors easy-listening, oui évidemment, c'est de Lenny Kravitz dont on parle tout de même.


[large]Lenny Kravitz[/large]

Si le premier single Stand passe tout seul sans trop accrocher l'oreille (malgré peut être un clavier bien rétro), d'autres morceaux ont un fort potentiel à faire shaker les booty.
Le duo avec Jay Z & Dj Military, balance un dancehall bien crado, daté et pas dégueu. D'autres morceaux assoient bien franchement la fibre funk de Lenny Kravitz : par exemple le très luxurieux Liquid Jesus et ses claviers et percus de film de cul des 70's, ou les non moins sexués Super Love et Back On Love tout en basse et en clavier... Là où d'autres renouent avec une fusion plus rock'n'roll; le musclé Come On & Get It avec sa section de cuivres et sa guitare devient un des moments les plus rock'n'roll de l'album.

Et puis il y a d'autres morceaux comme In The Black, morceau dance aux synthés très marqués et à la batterie bien binaire comme il faut pour remuer sur un dancefloor. Jusqu'au très pop Everything, ou le plus faiblard I can't be without you, mais tellement fait pour fonctionner qu'il finit par s'insinuer en vous. C'est le jeu, la force d'une production rocambolesque. Il est fort Lenny Kravitz, vous n'avez plus qu'à baisser les bras et profiter. On passera tout de même sur Faith of A Child, qui serait plus ou moins son "We Are The World" à lui ; ainsi que sur Dream inénarrable balade dont on aurait pu se passer. L'album se clôt sur un jolie Push un poil anecdotique au regard de l'explosion qu'ont pu susciter d'autres morceaux de l'album.

Entre pop, rock, punk, Lenny Kravitz accouche d'un album jouissif et énergique qui prouve bien que si en 20 ans Lenny Kravitz à eu des productions inégales, il a toujours des trucs à dire.

www.soul-kitchen.fr/22973-chronique-lenn...ck-and-white-america

Hop un petit filet dans l'Express :

[large]Les musiques métisses de Lenny Kravitz[/large]
[small]Par Paola Genone (L'Express), publié le 07/09/2011 à 10:00[/small]


[small]L'album a été enregistré entre Paris et les Bahamas.
M. Bitton[/small]

Le chanteur a sorti Black And White America ce 22 août. Un album métissé qui rêve d'une Amérique "en Technicolore".
Fils d'un père blanc et d'une mère noire, à 47 ans, Lenny Kravitz rêve d'une Amérique "en Technicolor": interraciale et sans communautarisme. "Le racisme existe toujours. Ça me choque profondément", chante-t-il dans son nouvel album, Black and White America, l'oeuvre la plus métissée de sa carrière.
Au fil de 16 morceaux -ballades gospel, rock et rap dansants et forcenés-, le chanteur guitariste remémore à l'oreille de l'Amérique les manifestations afro-américaines pour l'égalité des droits et les discours de Martin Luther King. On reconnaît son style imparable, son timbre de voix et on se complaît de ses arrangements rétro. Enregistré entre Paris et les Bahamas, ses deux ports d'attache, Black and White America fait réfléchir, danser, battre du pied.
Black And White America (Warner Music) par Lenny Kravitz.
Note: 10/10

www.lexpress.fr/culture/musique/les-musi...151.html#xtor=AL-447

il y a un artocle de 3 pages dans le mag gratuit de carrefour , intitulé LK, chanteur noir, coeur blanc , si qqn peut faire un scan , moi je ne peux que prendre les pages en photos si personne n a l article ....

[large]Lenny Kravitz Black And White America[/large]
[small]Le 08/09/2011 par La rédaction[/small]
[large]Découvrez le nouvel album de Lenny Kravitz Black And White America[/large]

C'est tout près de chez lui que Lenny Kravitz a puisé l'essentiel de son inspiration pour ce neuvième album. "Black And White America" est en effet imprégné de l'esprit des endroits où il a été conçu ; qu'il s'agisse d'une petite communauté de 400 personnes aux Bahamas ou bien des rues de Paris.

C'est en tant que véritable citoyen du monde que Lenny signe ses premières nouvelles chansons en trois ans, les plus personnelles et variées de sa carrière. C'est d'ailleurs en réaction à un documentaire sur le racisme dans les Etats-Unis post-Obama, que Lenny a écrit "Black And White America". C'est donc un disque qui parle de lui personnellement et de la réalité sur les races dans ce pays. (Pour télécharger le nouvel album de Lenny Kravitz, cliquez ici !)
Lenny Kravitz a démontré à plusieurs reprises ce dont ce processus est capable. Depuis "Let Love Rule", son premier opus sorti en 1989, Lenny Kravitz a totalisé 35 millions d'albums vendus à ce jour et quatre Grammy Awards en plus de vingt ans de carrière. Malgré ou peut-être à cause de son succès, cet auteur-compositeur-interprète, producteur et multi-instrumentiste, reste très attaché à sa maison dans les îles aux Bahamas. Si cette île, terre natale de la famille de sa mère, est depuis longtemps un sanctuaire familier pour Lenny, ce n'est que depuis l'an dernier qu'il s'est mis à envisager cet endroit d'une manière différente. Heureusement, il en est ressorti au final une aisance et une lucidité nouvelle dans sa musique. Mais ne vous méprenez pas, il n'y a pas que des titres mystiques dans "Black And White America", successeur de "It Is time For A Love Revolution" sorti en 2008, qui lui avait valu sa meilleure entrée dans le Top Albums.

Sur certaines chansons, Lenny Kravitz revient à des considérations plus terre à terre, inspirées des expériences qu'il a vécu quand il était reclus sur l'île. Comme dans ce bar où il aimait bien trainer et regarder les femmes, très fières de leurs formes, danser. Ces femmes lui ont inspiré Boongie Drop, un titre torride au groove imparable ("aux Bahamas, 'boongie' signifie 'cul,' c'est donc très culturel," explique-t-il). Jay-Z, qui a collaboré avec Kravitz sur plusieurs titres au cours de sa carrière, a sauté sur celui-ci déversant des rimes rapides dans la couleur locale, tandis que DJ Military, le fameux DJ de cet endroit qui est un vieil ami de Kravitz, a eu la chance de participer également à ce morceau.

"Black And White America" a ensuite pris une autre tournure lorsque Lenny est parti à Paris puisque le simple fait d'écouter sa musique dans un environnement urbain a changé son regard. Du coup Lenny s'est attelé au mix et a ajouté pas mal d'overdubs au synthétiseur. C'est également là qu'il a écrit une chanson "vraiment sensuelle, très minimaliste" intitulé Liquid Jesus qui apporte un feeling plus élégant et sophistiqué à l'album.

Si l'album réunit quelques morceaux phares comme Push, Super Love et Come On Get It, c'est cependant la chanson qui a donné son titre à cet opus qui attire le plus l'attention. Sur une ligne de basse très funky et pêchue, Lenny chante : "There is no division...the future looks as though it's come around." Cependant, bien que "Black And White America" soit avant tout un disque funk, la force derrière certains morceaux riches en guitares, comme Fly Away et Are You Gonna Go My Way, est très rock. Des chansons comme Rock Star City Life et le premier single, Stand donnent à l'album une bonne dose de riffs puissants.

Cet album est une célébration, et cela se sent dès qu'on l'écoute, c'est un disque qui met de bonne humeur. "Black And White America" est effectivement bourré d'optimisme, c'est un album qui donne foi et espoir, dans lequel Lenny atteint un nouveau sommet en termes d'éventail et de qualité musical !

www.zikeo.com/pop-rock/2471-lenny-kravit...white-america-album/

[large]Lennonien Lenny[/large]
[small]Par Pierre De Boishue _ LeFigaro.fr - Publié le 10/09/2011 à 17:27[/small]

« BLACK AND WHITE AMERICA » , de Lenny Kravitz, Roadrunner/Warner.

TRÈS BIEN

En dépit de son succès mondial, Lenny Kravitz demeure un musicien sous-estimé. La raison ? Il est victime de ses idoles. Bob Marley et John Lennon, pour lesquels il n'a jamais caché son admiration, lui ont joué un bien mauvais tour. Depuis ses débuts, en 1989, le compositeur entend ses détracteurs répéter qu'il s'inspire de ses illustres aînés disparus. Un procès injuste. Dès ses premiers titres, l'artiste new-yorkais a adopté un style personnel sans renier ses références. Sur son nouvel album au titre explicite, il réplique avec sa griffe habituelle à ces griefs récurrents. Aussi à l'aise sur le terrain des ballades que dans le registre du hip-hop, il livre une parution frappée du sceau délicat de la diversité. Ce neuvième album contient aussi des textes engagés. C'est en observant les comportements racistes aux Etats-Unis, malgré l'accession de Barack Obama à la Maison-Blanche, que Lenny Kravitz a repris sa plume sans prendre de gants. Une nouvelle preuve qu'il a une âme de meneur.

[small]Par Pierre De Boishue[/small]

www.lefigaro.fr/lefigaromagazine/2011/09...-lennonien-lenny.php

Lenny Kravitzc’était ce beau black, un peu rebelle, qui avait débarqué un matin de 89 avec ses dreads et un son rock’n’roll à faire pâlir Jimmy Hendrix. Pas un mec conventionnel quoi. Des années et quelques 8 albums studios plus tard, le gamin des Bahamas a toujours ses tablettes de chocolat, mais nous montre une autre facette de sa personnalité. De la soul, du funk, « Black And White America » est cet album psychédélique qui vous transportera délicieusement dans les années 70, n’en déplaise aux puristes rockers de la 1ere heure.
Un album donc qui groove et plutôt travaillé (16 titres pour l’édition normale) même si on pourrait lui reprocher justement d’être trop long ou d’avoir quelques titres faisant office de remplissage. Lenny Kravitz n’a néanmoins pas cédé aux sirènes de l’euro-dance ou de l’électro, chose assez rare pour être soulignée en cette période. Ce 9e opus recèle quelques pépites, à commencer par le titre éponyme, Black And White America, qui n’est pas sans rappeler la bande son de Shaft (celui de 71 évidemment ). Les cuivres rendent le titre funky à souhaits ! Dans le même esprit, retenons Liquid Jesus où Lenny prouve qu’ils maitrise toujours aussi bien les aigus (souvenez vous de It Ain’t Over Til It’s Over) ou encore la ballade Looking Back On Love, qui ne manque pas de soul.
Dans un autre registre, Boongie Drop est peut-être la bonne surprise de l’album, autant pour le featuring avec Jay Z (qu’on ne présente plus) que pour son esprit dancehall.
Le titre Rock Star City Life garde quand même la touche Rock’N'Roll qui fait la signature de Kravitz, et peut parfois faire penser à Somebody’s Watching Me d’un certain Michael Jackson.
Si les chansons évoquées précédemment font tout le caractère de l’album, il y a bien 2 joyaux sur lesquels vous ne pouvez pas faire l’impasse. Tout d’abord, I Can’t Be Without You, typiquement kravitzien, qui assure une certaine continuité avec « It’s Time For A Love Revolution » (son opus précédent). Et surtout Superlove, coup de cœur ultime de « Black And White America », dont on avait pu voir , il y a quelques mois, un aperçu en studio via le maître himself. La ligne de basse, les claviers, les chœurs, tout s’imbrique parfaitement pour nous donner la chanson lascive et sensuelle par excellence. Le Sexual Healing du 21e siècle ?
Quoiqu’on en dise, tout y est : la paix, l’amour (thèmes chers à son cœur), le Rock’N'Roll, le funk. En clair, un album sincère, à son image. Si Lenny Kravitz nous dépeint une Amérique en blanc et noir, il confirme cependant que la musique, elle, multiculturelle, n’a pas de couleur.


Source : ziknation.com/lenny-kravitz-black-and-white-america-15218/

A noter que la chronique Ziknation est l'oeuvre d'1 membre du forum

[large]Lenny Kravitz: je suis imprévisible[/large]


http://www.scsstatic.ch/i/6120978,300
Galerie photos

Lenny Kravitz a parlé de ce qui l'a inspiré à écrire son nouvel album Black and White America.

Lenny Kravitz est capable d'être « très charmant » ou « extrêmement ennuyant ».

Le chanteur américain âgé de 47 ans est célèbre pour sa personnalité impressionnante et ses performances musicales sur scène et dans ses clips.

Lenny Kravitz maintient qu'il peut avoir du caractère et ne sait pas comment il réagirait dans certaines circonstances.

« Je peux être très charmant mais aussi extrêmement ennuyant selon le moment, a-t-il déclaré lors d'une interview pour la chaîne BBC. Waow. Comment pourrais-je me décrire en une seule phrase ? Passionné et intense. »

Lenny Kravitz a eu un immense succès dans le monde du disque. La star qui a été récompensée pour son talent et a sorti plusieurs tubes numéro 1 dans les charts à travers le monde, avoue adorer sa vie.

« C'est merveilleux [d'être Lenny Kravitz]. Avec les hauts et les bas, c'est le trip » a-t-il expliqué.

Le chanteur fait actuellement la promotion de Black and White America, son dernier album. Le père du chanteur compositeur était un russe aux origines juives et sa mère était africo-américaine et bahamienne.

Lenny Kravitz a expliqué le titre de son album.

« Eh bien, je suis noir et je suis blanc et j'ai grandi aux Etats-Unis, a-t-il déclaré en riant. J'ai reçu une éducation très riche. Pas en terme d'argent mais culturellement. J'ai été élevé avec deux cultures différentes, et j'avais tout ça à ma disposition. »

Lenny Kravitz mélange des genres différents dans ses chansons. Le musicien talentueux a déclaré que l'opéra en particulier l'a aidé dans sa carrière musicale.

« J'ai grandi en écoutant de l'opéra, du gospel, de la musique classique, du jazz et de la funk. J'ai chanté de l'opéra aussi, a-t-il confié. J'ai eu beaucoup de chance d'avoir vécu cette expérience mais je savais que je voulais faire autre chose. J'en ai appris beaucoup sur les arrangements, l'harmonie et la théorie. »

Lenny Kravitz a donné le nom de son idole musicale. La star a déclaré que Michael Jackson n'a pas été égalée, surtout en ce qui concerne ses débuts.

« Si je devais choisir un héro musical, je choisirais Michael Jackson quand il était enfant », a-t-il confié.

© Cover Media

www.bluewin.ch/fr/index.php/99,463564/Le...ntertainment/people/

LOL, cette article est la trancsription ecrite de l'interview de la BBC !!! A noter en + de la dernière phrase, qu'à la question "Quelle est votre chanson préférée" ? il a répondu après réflexion : "Never can say goodbye", des Jackson 5 ;-)

Merci pour ce patient travail de collecte et de liens web.

CULTURE Musique
Lenny Kravitz : «Je prends les choses comme elles viennent»

Par Pierre De Boishue Publié le 21/11/2011 à 11:11
Album <i>Black and White America</i> de Lenny Kravitz (DR)

Dans l'excellent Black and White America, l'artiste dénonce le racisme qui sévit toujours aux États-Unis. Pour le Figaroscope, il revient sur sa carrière et détaille ses projets.


LE FIGAROSCOPE - Quelles réactions suscite votre album ?

Lenny KRAVITZ - J'ai de très bons retours. Je ne prête pas vraiment attention aux critiques. Chacun a son opinion. Étrangement, je n'en ai jamais reçu d'aussi élogieuses. On me dit que le disque est diversifié et qu'un excellent feeling s'en dégage. Pendant deux ans, je me suis installé aux Bahamas. Là-bas, je me suis retrouvé seul, dans la jungle. J'y ai trouvé la paix. Cet album vient du plus profond de moi-même.


La France a-t-elle une saveur particulière pour vous ?

Tout a commencé ici pour moi ! C'était en 1989, aux Transmusicales de Rennes. Grâce à ce festival, ma carrière a démarré en Europe. J'y avais reçu un formidable accueil. Ensuite, j'ai passé du temps dans votre pays. J'ai fait l'album de Vanessa Paradis. Puis j'ai adopté le style de vie français. Au point de vivre aujourd'hui à Paris.


Pensiez-vous vendre 35 millions d'albums à vos débuts ?

Je n'en avais aucune idée ! Comme j'ai beaucoup travaillé, je n'ai jamais eu le temps d'apprécier ce succès. Cette fois-ci, je compte bien en profiter.


Comment construisez-vous vos disques ?

Vraiment, je prends les choses comme elles viennent. Je ne sais jamais où je vais. Je suppose que je compose en fonction de mon état d'esprit.


Votre prochain défi est de proposer un disque de funk…

Je suis en train de le terminer. Sa sortie est programmée l'année prochaine, sans doute.


Vous souhaitez aussi travailler avec Bob Dylan…

Je ne l'ai pas vu depuis un an et demi, mais ce projet pourrait se concrétiser. Tout va dépendre de nos agendas. Rien n'est planifié, mais ce serait bien que nous puissions nous échapper quelque part. Comme aux Bahamas.


On vous a reproché, au départ, vos influences sixties. Un procès injuste ?

D'autres musiciens, comme Led Zeppelin, s'étaient jadis fait massacrer. Une certaine presse m'a choisi. Elle n'a pas été très tendre. Je n'ai pas plus été inspiré par les Beatles ou les Stones que n'importe quel autre artiste. On me dit aussi que j'ai des héritiers. Mais je ne veux pas les dénoncer (rires) !


Vous écoutez la musique d'aujourd'hui ?

Le niveau est redevenu pointu. À titre d'exemple, j'aime beaucoup Raphael Saadiq, que j'emmène avec moi en tournée. Je suis aussi impressionné par le succès phénoménal d'Adele.


Vous vous rapprochez du cinéma…

J'aime ce milieu. Quand je fais de la musique, je parle de moi. J'évolue dans mon univers. Dans le septième art, j'apprécie l'idée d'être dirigé et de m'entendre dire : «Voilà ce que j'aimerais que tu fasses.»


Est-il facile de trouver l'inspiration après avoir signé autant de grands titres ?

Oui ! J'ai hâte de voir ce que vont être les vingt prochaines années. Sur le plan personnel, déjà, je sais que je vais davantage les apprécier. J'ai l'impression que je viens de commencer…