Fefe Dobson "Sunday Love" : album à paraître le 25 octobre 2005 !
La chanteuse canadienne Fefe Dobson, de son véritable nom Felicia Lynn Dobson, revient avec un deuxième album, intitulé « Sunday Love », à paraître le 25 octobre 2005. « Sunday Love » génère un premier single nommé « Don’t Let It Go To Your Head ». Un extrait audio de cette nouvelle chanson est disponible à l’écoute via l’eCard, sur son site officiel. De plus, le vidéoclip de « Don’t Let It Go To Your Head » sera visible à partir du 17 octobre prochain. Vous avez presque entendu parler il y a quelques années de Fefe Dobson, quand elle a envisagé signer son premier contrat avec une maison de disques de son pays natal.
Ce n’est pas qu’elle n’était pas prête à entrer dans l’arène pop-rock, mais elle voulait être à son plus haut niveau avant de monter sur scène. A cette époque, Fefe Dobson commençait à composer au piano et bien que les fondations de ses mélodies pop soient très solides, quelque chose manquait. « Je n’arrêtais pas de penser, il y a quelque chose qui ne va pas, j’ai besoin de plus de guitares ». Alors Fefe Dobson se plongea dans le travail, jeta ses précédentes chansons et recommença à zéro, enrôlant le talentueux co-producteur Jay Levine de Left Hook Productions.
« J’ai rencontré Jay alors que je commençais juste, nous avons écrit une chanson tous les deux dès les dix premières minutes de notre rencontre. C’était magique ». Cette alchimie se révéla fructueuse, mais aussi très puissante. « Nous jouions quelque chose à la guitare, après je jouais quelque chose au piano, et les deux morceaux s’accordaient parfaitement. Je pensais à ma vie, à mes expériences, et je me mettais à écrire. Tout le monde peut être touché par ces chansons parce que tout le monde a eu ce genre de problèmes. Les refrains me venaient tout à coup, comme une montée d’adrénaline ».
Le résultat de cette alchimie, Fefe Dobson, mixé par Lord-Alge, pétille de la vitalité des franches émotions. Il vous charme, virevolte, puis vous frappe avec la force d’un uppercut. Ayant grandie dans une famille aux goûts musicaux divers, les sons qui imprégnaient la maison de Fefe Dobson l’entraînaient dans toutes les directions à la fois. Sa mère chantait souvent des titres de Michael Jackson et Lionel Richie, dansant à travers la maison. « Ma mère était une reine du disco », raconte Fefe Dobson en riant. « Elle était folle. Elle dansait tout le temps sur ‘Flashdance’ et des trucs comme ça. J’étais assise là et je me disais elle est bizarre, mais c’est comme ça que j’ai appris à danser ».
Mais une autre influence commença à se faire sentir dans l’esthétique rock de Fefe Dobson. « Ma soeur était une fan de Nirvana », raconte-t-elle. « Elle fermait sa porte et mettait ‘Smell Like Teen Spirit’ à fond. Elle ne voulait pas me laisser rentrer, mais je restais là à écouter ces chansons. Cette musique venait de l’esprit, du coeur et de l’âme de Kurt Cobain. Vous pouvez la sentir, et il vous emmène dans son voyage. Quand vous êtes jeune, vous ne pensez pas, cette personne va changer ma vie . Mais quand vous commencez à enregistrer vos propres chansons, cela se rappelle à vous ».
Pendant l’enregistrement du chant de son premier album éponyme, Fefe Dobson a invoqué Kurt Cobain pour qu’il lui insuffle un peu d’inspiration, donnant des côtés très Seattle à certains morceaux de son album. « Dans le bar où je chantais, il y avait des posters qui nourrissaient mon inspiration : Coldplay, Jeff Buckley, The Vines, Judy Garland, et bien sûr, Nirvana. Je me disais qu’ils y étaient parvenus, et que j’allais y parvenir. Cela me donnait un peu de force. Quand j’enregistrais le chant, je regardais Kurt, et j’avais l’impression qu’il me disait, tu peux le faire ». Mais il y a bien plus encore dans Fefe Dobson.
Sur son premier album éponyme publié sur Island Records, Fefe Dobson réussit à s’imprégner de l’âme de tous ses héros musicaux, pour créer quelque chose de totalement nouveau. Et sur scène comme Fefe l’affirme : « Quand je fais un concert, les gens peuvent danser, ils peuvent groover, ils peuvent pogotter, ils font ce qu’ils veulent. Mais au bout du compte, c’est juste moi. Ça rock ». Mais ça ne rock pas seulement, c’est rempli des grosses guitares hard-rock que Fefe Dobson adore. Au studio, Jay Levine et elle ont enrôlé Jack Daly à la basse (Lenny Kravitz) pour soutenir les riffs bruts de Fefe Dobson.
Bien qu’elle n’est que deux printemps dans l’art de gratouiller, elle continue de s’entraîner. « Je suis autodidacte jusqu’à présent », dit-elle. « J’ai joué du piano pendant quatre ans quand j’étais plus jeune, et mon jeu de guitare s’améliore rapidement. J’y travaille vraiment beaucoup. J’espère pouvoir bientôt jouer des deux instruments sur scène. C’est vraiment quelque chose que j’attends avec impatience ». A ce point Fefe Dobson peut attendre beaucoup de choses avec impatience. La première est de jouer en concert devant des nouveaux fans. Elle n’a fait que quelques concerts avec son groupe, mais cette première expérience n’a fait que la rendre plus impatiente.
« C’est génial, avec les guitares et la batterie, c’est parfait. Vous touchez les gens, c’est fort, ils entendent tout. C’est très libérateur ». Avec « FeFe Dobson », fini le monde tranquille où tout est beau, propre et paisible. Il est remplacé par de l’énergie pure, de la sincérité, de l’intégrité, et une franchise. Cette fois-ci, elle est prête à donner au monde son expérience de la vie et les leçons qu’elle en a tirées. C’est à son tour de sortir de sa coquille. Et cette fois, elle est en tête de la charge, une position qu’elle a toujours rêvée de tenir.
Source :
www.musiqueradio.com/article_news1560_fe...-25-octobre-2005.php
Fred :coucou: